Quand on pense qu'autrefois l'héritière vivait dans un palais des plus somptueux il est difficile de croire que sa vie et les réunions importantes se déroulent désormais ici. Bien que l’habitation ressemble aux maisons qu'il y avait en dehors du fort d'Igrabia détrompez-vous, celle-ci possède une bien meilleure thermodynamique, un intérieur soigné et un agencement architectural qui souligne tout de suite la différence entre cette chaumière et une hutte de paysan. En plus qui se douterais qu'il y a aussi un passage secret vers l’extérieur ? Ou n'est-ce qu'une rumeur...

Peut-être viviez-vous dans une maison aux balcons fleuris de la citadelle, dans les arches des cercles intérieurs ou même quelque chose de plus modeste mais toujours d'un blanc immaculé et d'une chaleureuse ambiance calme et reposée aux senteurs de délice... Eh bien c'est fini maintenant ! Le calme vous l'avez certes, mais la somptueuse maison c'est maintenant plus qu'une nostalgie, vous en plaindre ne changera rien, par contre personne ne vous empêchera de devenir constructeur.

C'est ici que l'on trouve de quoi manger ou boire quand on ressent la flemme de cultiver la terre soi-même, en même temps il n'est pas possible de s'occuper à la fois d'un énorme champs et d'un grand verger. Sinon vous pourrez peut-être y trouver quelques trésors de l'ancien royaume d'Igrabia qui sait ? Peut-être pourrez-vous acheter de quoi décorer votre hutte ou encore votre personne. En tout cas il s'agit de l'endroit le plus calme du campement pendant la nuit, et c'est ici que l'on peut apercevoir le rôdeur...

Si vous travaillez dans l'artisanat rien de mieux que cet emplacement, quand on fabrique des arcs il vaut mieux se trouver près de la scierie et le tailleur a besoin d'outils et de mécanismes qui prennent de la place, en plus les autres travailleurs ont souvent tendance à abîmer leurs tenue de travail donc c'est peut-être mieux placé qu'un stand sur la place marchande. Par contre c'est sûrement l'endroit le plus bruyant du village car on entend le ciseau frapper le bois, et les producteurs qui préfèrent se demander des services en criant à travers les ruelles plutôt que de se déplacer.